Certes, il ne s’agissait pas du prestigieux bâtiment principal, place de Fontenoy à Paris. Mais cette annexe culturelle de l’UNESCO (Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture), située rue Miollis et qui abrite notamment le Conseil International des Musées, constituait toutefois un accueil de choix pour les jeunes joueurs d’échecs venus y disputer le « Youth Chess Tournament » du 3 au 5 mars. Organisée par le Comité Parisien du jeu d’Echecs, avec l’aide du cabinet d’avocats FTPA et de l’Unesco, cette compétition internationale par équipes avait lieu pour la première fois en France, et réunissait des formations venues de Russie, d’Angleterre, des Pays-Bas, et de France bien sûr.
Autographes et selfies qui s’imposent
Le but avoué de ces rencontres est évidemment de favoriser l’accès au haut niveau échiquéen, mais aussi de stimuler les échanges entre les jeunes compétiteurs des différentes nations.
De son côté, quand il est en France et qu’il est disponible, Maxime sait honorer ses obligations de champion. En l’occurrence, il a répondu favorablement à l’invitation lancée par André Rasneur, infatigable Président de la Ligue d’Ile-de-France des Echecs et du Comité Parisien, et s’est rendu le dimanche midi sur place, afin de participer à la cérémonie de remise des prix.
Même un vigile zélé, état d’urgence oblige, qui a obligé Maxime à poireauter sous la pluie avant de le laisser entrer, n’a pas réussi à le décourager… Pour le plus grand plaisir des jeunes présents, qui se sont vu décerner leurs récompenses par l’un des très grands champions actuels. Et qui n’ont pas hésité à lui demander les autographes et les selfies qui s’imposent désormais à toutes les personnalités publiques.
Entre entraînements intensifs, compétitions à travers le monde, et obligations médiatiques, c’est aussi ça, le quotidien d’un joueur d’échecs professionnel de premier plan…